L’humour comme force de résistance, l’amour comme force de vie qui rend Guido créatif pour protéger son jeune fils de l’horreur et du désespoir…
L’amour, comme force de poésie et d’émerveillement, là-même où on ne s’attendrait qu’à des scènes de désespoir !
L’amour, comme force du don de sa vie…
Dans le contexte actuel pour vaincre l’indifférence et la haine, l’éducation « devrait » jouer un grand rôle, l’attention aux autres, la prière. La prière de Saint François me parle bien : « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix…
Ce qui a heurté ma raison profonde est cet enracinement dans le mal, c’est-à-dire la haine, ce venin de la domination qui fait que l’on s’attribue sur autrui un pouvoir qui aliène l’âme en nous, car non voulu dans le Dessein de Dieu. L’homme veut écrire sa propre histoire sans la moindre notion du bien commun et de son appartenance au Fiat Divin.