Prière du Dimanche de la Miséricorde

« Grand merci pour ce temps prière, j’ai beaucoup apprécié. J’ai pu y participer grâce à une personne qui m’a proposé le covoiturage. »

« Mille mercis pour ce trop bel élan de prière à la miséricorde divine jaillissant du Cœur de notre Seigneur. »

« Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. » (cf. Isaïe 53, 5) Au cours de ce temps de prière, le Seigneur nous a offert gratuitement ce don  précieux, fruit de la victoire de l’amour de Dieu sur le mal, fruit du pardon. Il ne tenait qu’à nous de l’accueillir comme un fruit de sa miséricorde, comme un cadeau du Ressuscité : « La paix soit avec vous ! »
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« La miséricorde de Dieu n’est pas une de ses qualités parmi tant d’autres, la miséricorde de Dieu c’est le battement du Cœur de Dieu lui-même. » (cf. Pape François)

“À cette heure-là, tu peux tout obtenir pour toi et pour les autres. À cette heure-là, la grâce a été donnée au monde entier, la miséricorde l’a emporté sur la justice.(Jésus à Sainte Faustine/Petit Journal, 1572)

S’appuyant sur ces paroles, les participants au temps de prière, confièrent à la miséricorde de Dieu celles et ceux qu’ils portent dans leur cœur et leur prière, les membres de leurs familles, les personnes souffrantes, les malades, les mourants, les personnes défavorisées, les membres de leurs Communautés de Paroisses, l’Eglise diocésaine et le monde entier !
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Le tableau de Jésus miséricordieux 

De la tunique entrouverte sur la poitrine sortent deux grands rayons, l’un rouge, l’autre pâle. Le Seigneur lui donne la signification : « Ces deux rayons indiquent le sang et l’eau – le rayon pâle signifie l’eau, qui justifie les âmes ; le rayon rouge signifie le sang, qui est la vie des âmes…

Ces deux rayons jaillirent des entrailles de la miséricorde du Christ alors que son cœur agonisant sur la croix fut ouvert par la lance. »

Le Christ est apparu à sainte Faustine comme il est apparu aux apôtres le soir de la Résurrection, dans la lumière, marqué des stigmates de sa Passion avec une main qui bénit et l’autre tournée vers son Cœur. Il nous rappelle qu’il n’est qu’amour et miséricorde, « qu’il est venu proclamer la paix » (Ephésiens 2, 17) car « en son corps il a tué la haine » (Ephésiens 2, 16). Il est venu nous rappeler qu’il nous bénit « de toutes sortes de bénédictions spirituelles » (Ephésiens 1, 3)

En montrant son Cœur, il montre la source de sa miséricorde. Ces deux rayons qui représentent le sang et l’eau rappellent qu’il veut laver nos âmes du péché et nous remplir de l’Esprit Saint.

Le Christ est vivant, il est ressuscité ! En demandant à sainte Faustine de faire écrire « Jésus j’ai confiance en toi », nous sommes invités à nous tourner vers lui sans crainte, car il veut nous consoler, nous guérir, nous restaurer dans notre dignité, nous purifier de notre péché si grand soit-il car il veut notre bonheur !

Ainsi que le déclara le Bienheureux Jean-Paul II, cette image est avant tout le symbole de la consolation, une consolation destinée à tous ceux qui « affaiblis par la souffrance ou le péché pourraient être tentés de céder au désespoir »